Quelques poèmes...

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Y'a rien à changer... À trop modifier on peut finir par dénaturer... C'est beau aussi le brut...

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Il m'arrive de prendre la plume et d'écrire.
Oh bien moins souvent qu'auparavant , la vie change mais l'envie est toujours la.
Parfois à cause de l'actualité , parfois une chanson , parfois ..rien.
Alors je vais partagé avec vous un poème , je ne sait pas s'il vous plaira , mais juste pour partager un moment d'égarement.

Bonne lecture à ceux qui voudront.
Et excusez mes fautes , svp. Merci.
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Liberté
Que tu es belle
Quant on te laisse
Ouvrir tes ailes
Liberté
Tu fait nos fiertés
Quant face au combat
On te préfère aux lois.
Quand face à l'état
On se blotit près de toi
Et que tu nous réconforte
Sous ton duvet d'oie
Et face aux griffes d'ours
Qui tue le peuple d'en bas
Que deviendrions-nous
Si tu n'était plus la

Liberté
Et dire que nos ancêtres
Nombreux , sont tombés
Pour te voir paraître
Tomber la muselière
Pour oser dénoncer
Que tes chaînes de fer
Sont toujours plus serrées
Et si tu pouvait parler , Liberté
Tu nous dirais tant de vérités
Sur tous ces mouvements
D'enfants manifestants
Qui réalisent qu'aujourd'hui
Même une tartine au chocolat
Est devenu mépris
Pour ce pauvre climat

Et de toutes ces gamines sans cervaux
Qui font les putes sur les réseaux
Qu'en dirait tu , Liberté
Des droits de la femme libérée
Montrer nibards et vagins
Pour gagner une croûte de pain
Vidéos maquillées de la tête au pied
Exclus d'un travail qu'elles ne savent trouvé
N'est ce pas la aussi quelque part
La face cachée du miroir
D'un monde toujours plus bridé
Que l'on ose à peine regarder

Regarder , dénoncer , en parler
Pouvoir oser se lever
Et fier d'en haut crier
Qu'il soie temps que l'on te libère , Oh Liberté.

Un petit second.
Si vous désirez la fredonné , prenez la chanson " usé " comme tempo.
Bonne lecture , et désolé pour les "fotes".
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Le plat Pays qui est le miens
Pauvre Pays qui c'est perdu
Pays que je ne reconnais plus
Des terres qui ne valent plus rien
Un peuple qui c'est vendu
Pour du papier qu'il n'as même plus
Qui pleure pour ces enfants
Qui eux pleurent pour du changement

Le plat Pays qui est le miens
Et qui même plus ne m'appartient
Vendu à des vauriens
Qui prennent tout le monde pour leurs chiens
Pays qui se lève chaque matin
Avec son peuple qui à encore faim
Qui n'as plus assez de ces deux mains
Pour vivre jusqu'au lendemain

Mon pays tu t'es perdu
T'as fait une génération de pendu
Des citoyens qui jouent au lèche-cul
Et qui pour toi ont tout vendu
Qui aujourd'hui n'ont plus rien
Que des larmes dans leurs mains
Qui ne pensent même plus à leurs anciens
Drapeau noyé dans le vin
Des agriculteurs qui ont faim
Et des jeunes paumés dans chaque recoin
Des profs qui n'enseignent plus rien
Et des médecins qui n'ont plus les moyens

Mon Pays relève-toi
Y a une jeunesse qui croit encore en toi
Qui rêve d'oiseaux sur les toits
D'un autre amour que celui entre chiens et chats
Et ce peuple qui ne fait rien
Qui ne comprend même pas à quel point
Ne rien faire est si malsain
Pour la jeunesse de demain
Qui laisse la place aux vendus
La porte ouverte à tout les abus
Remplir les poches de nos chèr élus
Et dans les nôtres que du superflu

Et ce plat Pays qui est le miens
Polluer de plus en plus chaque matin
Ma Terre qui vit son déclin
Et l'Homme pris pour de la chair à catin
Et le Lune qui est la chaque nuit
Qui nous regarde et nous dit
Est ce que vraiment tu veux ressembler
A moi, dans quelques années

Alors Peuple relêve-toi
Eteins un peu ta télé-réalité
Il est temps de lever les bras
D'ouvrir les yeux et de voir la vérité
Car ton élu , lui , il se les bats
Mais s'il voit sur lui un bran le bas de combat
Alors peut-être qu'il se dira
De réfléchir à deux fois
Avant de ressortir une loi
Qui menace encore plus nos emplois
Ou d'enterrer celle du climat
Que ton enfant pourtant subira

Car hélas viendra le temps
Ou nos enfants auront 20 ans
Et nous demanderons pourquoi
On à laissé faire jusque la
Alors que nos grands-parents
Eux , ont donnés leurs sang
Pour avoir quelques droits
Qui maintenant sont rayés des lois

Enfin , Citoyens , réveille-toi
Il est l'heure du bran le bas de combat
Et de rendre ses jardins
A mon plat Pays qui est le miens
Il est temps de secher nos larmes
De reprendre les armes
Et de rendre ses jardins
A mon plat Pays qui est aussi le tiens.