nos arts pour l'ours.

E.L a écrit:y'a le soleil à minuit,
au milieu de l'insomnie,
y'a le soleil qui luit,
quand j'entends symphonie
quand j'entends qu' il s'endort
au sonate du temps
que son amour n'est pas mort
qu'il rêve des printemps.

Là au milieu de la nuit
j'ai pris un pain, polka
non c’était pas Bonnie
c’était sa Petrushka
c'était l'avec maria
un petit air d’opéra
une Carmen  en petit rat
que Damien maria .

C'était passé une heure
ou bien pas tout à fait
un voyage vers le bonheur
le parfait de l'imparfait
c'était un peu d'intime
d'une vielle qui s'effritait
et puis même le sublime
d'un grand père qu'il chantait

la lune continuait son voyage
pour nous conter un peu l'orage
des cendres d'une dame trop sage
battit pour bannir les sauvages
Elle se postait en témoignage
des hommes mettant cœur à l'ouvrage
à vouloir toucher dans le ciel
la lumière venu de l'essentiel

Elle était belle sa cathédrale
qui abritait none et putain
qui ne voyait jamais le sale
des corps unis jusqu'au matin
était ce vraiment une cathédrale
tant moi j'étais dans un Eden
tant abreuvé de son saint Graal
que l'amour coulait à pleine veine .

A ses cotés,  pris sous les airs
qu'il nous servait comme une hostie
Je la vivais sa populaire
je la voyais danser aussi
comme un amour des orphelines
des interdits sans haine qui germe
comme si le beau d'Anatoline
crier l'inconditionnel je t'aime.

Je t'aime
aimes
aimes
aimes
je t'aime
aimes
aimes
aimes
JE T'AIME
AIMES
AIMES
AIMES
JE T'AIME
AIMES
AIMES
AIMES