Pensée primitive

Pour ouvrir cette section, je vous invite à poster vos pensée primitive.
Qu'est ce ?
C'est la pensée immédiate sans réflexion lâcher à brut, par le cœur.
C'est l'écriture intuitive.
Une seul règle ne jamais juger ou commenter la pensée de l'autre.
Juste parler de soi, le plus simplement du monde.


Pour lancer le sujet, je donne l'exemple.
Le don de soi est une chose merveilleuse.
C'est un bonheur pur que de s'offrir à l'autre au monde de différentes manières que ce soit.
Le don de soi nécessite une forme d'abondon,
Un renoncement de l'ego.
Dans ce renoncement on retrouve l'essence du monde, la confiance, la foi, l'amour, la paix, la joie et la bonne humeur.
L'autre n' est plus un obstacle qui nous fait peur mais un miroir de l'âme.
Ses méfaits ne sont plus de la méchanceté mais son propre mal qu'il ne sait pas exprimer.
L'autre n'est plus un ennemi, mais vous n'êtes plus votre propre ennemi.
Le don de soi commence par la nudite, la transparence. Par se montrer tel que l'on est aussi fou ou derangeant que sa puisse paraitre.

C'est l'artiste sur scène, c'est l'artisan, c'est le travailleur, mais c'est aussi le mendiant, le chômeur, l'handicape le voleur.
C'est l'idée que chaque être humain est un éclaircissement de nous même, un élargissement de nous même.
C'est bon de se mettre à nu, faut il ne pas avoir peur du jugement.
Mais je crois en l'acceptation collective de règle quand celle ci sont justes et le nécessites.
Osez le nudisme
Et pour les voyeurs, branlez vous tant que vous voulez, mais ici c'est une plage sans vêtements, sans jugement.

manu t'sais que mon mal ètre est permanent c 'est comme ça, si je me met à nue j'vais faire peur à tout le monde ha ha

n'ont peur que ceux qui veulent pas comprendre.
et toi particulièrement pourrait y gagner. qu'y a t'il de plus instructif que la pensée de l'autre? son expérience.
On s'attarde sur les grands auteurs, mais pour moi, les plus beaux mots viennent des tout le monde, des écorchés, des malades, des vivants qui sont mort de ses morts trop vivants.
les gens ils sont beaux pas par ce qu'ils copient mais par ce qu'il crée.
Et ce qu'on crée vient de notre âme, sinon ça marche pas.
c'est une libération.
je suis sur que tu as des magnifiques en toi.
et si ça permet de mieux se comprendre.

allez c'est pas du primitif, du moins si, mais pas d'aujourd'hui.

Il m'est difficile de m'exprimer et de me faire comprendre. Mes blessures, ma maladie, la vie tout simplement, m' ont guidé vers la fuite des conflits.
Mon objectif tire vers l'union, la symbiose, le partage, la bonne humeur. Je veux voir les gens sourire, s'épanouir, fleurir au grès des saisons.
Ce qui fait que des que je ressens une tension nerveuse trop grande chez la personne, une trop grande volonté de s'imposer, je scelle la discussion, je l'écourte, je la fuis. J'ai pas ni l'envie, ni la force de me battre pour juste exprimer ma pensée, mon point de vue à une personne qui n'a pas envie de l'entendre, trop centré sur elle.
En effet, si je veux parler de moi, si je veux donner mon point de vue autant que ce soit à quelqu'un qui s'intéresse un minimum à toi et qui en conséquence fera la démarche nécessaire pour chercher à comprendre plutôt que contredire et de te couper la parole en te répétant : "j'ai raison." de plus en plus fort.
Au préambule, quand je m'exprime c'est de mon point de vue. Il ne sert pas à dire j'ai raison. Il sert à donner à mon interlocuteur un décodeur à Manu.
Si je vous dis: voilà comment ça c'est passé, la phrase incluse mais non dites, c'est de mon point de vue, de ma position d'homme.
C'est inclus à mon discours. C'est l'évidence absolu (à mes yeux), c'est ce qui me ferait dire des :t'es con ou quoi ? Vu que c'est moi qui parle. Comme de toute évidence à mes yeux la réciproque est vrai. Quand tu me parles, c'est ton point de vue.
Je n'ai pas à contredire le point de vue de l'autre. Je n'ai pas à lui dire tu as tort ou raison.
Je peux ne pas être en accord car mon ressenti est différent, mais je ne peux mettre en doute son ressenti à lui. Je peux l'entendre, le comprendre, lui donner le mien si il en veut, je peux aussi ne pas le comprendre, ne pas l'entendre, rien dire. Mais il est stupide d' aller contredire quelqu'un sur comment lui a vécu les choses.
J'entre là dans une affirmation, pour qu'une conversation, une discussion puisse porter ses fruits il faut que tout les protagonistes puissent exprimer librement comment il perçoivent les choses. Il faut pour cela que tout les protagonistes aient la volonté de s'écouter, de se comprendre et de s'entendre sur l'objet de cette discussion.
Mais, je reprends mon ressenti, il devient de plus en plus difficile de discuter. J'ai un fort sentiment d'incompréhension général.
Comment discuter quand(par exemple) l'hôpital demande des moyen humains et que le gouvernement regarde les moyens financiers.
Comment se comprendre quand nos visions, expériences sont diamétralement opposé?
Partir du point de convergence. Où nos vies se croisent, autour de quoi elle s'articule ?
C'est ce point de convergence qui doit permettre le dialogue, la discussion. Ce point de convergence qui doit créer le lien nécessaire à la réconciliation.
Car se point de convergence c'est une chose qu'on veut ou qu'on veut plus. Nous y avons un intérêt personnel à le conserver ou à agir pour s'en débarrasser.
Par exemple mon point de convergence peut être une association, un job, un resto, un concert un pays, une condition animal.
Et ce que je veux plus un sentiment négatif lié à ce que j'aime.
Personnellement, j'essaye tant que faire se peut de considérer mon point de convergence comme le plus éloigné possible ou le plus englobant possible.
Du coup, ce petit texte est un préambule, ou un éphémère. Le décodeur à manu prendra suite ou pas, mais le décodeur il dit "ceci est une invitation à venir boire un coup pour qui cherche à comprendre ou se faire comprendre"
...

qui est on pour juger l'autre?

Dire ce qui passent par la tête, sur un instant, sur l' éphémère.
Dire, juste pour marquer notre moment.
Dire comme une libération, comme un goût de gueule, comme un cri de douleur, comme un cri d'amour.
Dire pour dire, au moins une fois, ce qui nous fait mal, ce qui nous fait du bien, ce qu'on aime et ce qu'on aime pas.
Dire comme des témoins.
Dire pour être acteur.
Dire pour être créateur.

Lâchez Vous bordellll

Vas y ma poule, roule. Je me fais chier, ou plutôt j'en ai marre d'être confronté à l'unique dialogue interne.
C'est un truc à devenir fou.
Bon pourquoi devenir, paraît que je le suis déjà, alors bon... Autant l'assumer.
Je sais pas si ça vous est déjà arrivé, je pense que oui, cet instant où tu piges un truc, à t'as tout un tas d'autre chose qui s'eclaircisse.
C' est un peu comme l'enfant qui croit au père Noël et qui d'un coup découvre la supercherie.
Ou le sixième sens, qui en une révélation, transforme tout le film.
T'es là, chez toi, tu réfléchis, et d'un coup, ça fait eureka, bon sens mais c'est bien sûr...
Après t'as la phase enchaînement.
Ce qui découle de cette compréhension. Ça peut allez jusqu'à l'histoire pas drôle de tonton Gaston qui d'un coup devient drôle.
Et puis après, bien souvent la vie te renvoie quelque chose qui dérégle tout.
Ça percute tes convictions... Comme cette maman éternelle qui d'un coup disparaît.
T'as les émotions qui s'entrechoc, des réactions épidermiques.
Nos convictions sont des enfermement qui bien souvent nous empêche d'allez plus loin, jusqu'au jour où tu es face à un mur.
Faut reprendre tout à zéro, pour pouvoir accepter la nouvelle donne.
Quand on pense aux nombres d'être humain, c'est tout autant de convictions qui s'affrontent.
Comment pouvons nous alors nous entendre ?
Putain, ça me fait chier de voir mes frères se battre pour des conneries.
Ce besoin de se référencer à l'autre. De s'evaluer en rapport à l'autre.
Dites vous ? Vous vous sentez inférieur ou supérieur à l'autre ?
C'est qui l'autre ?
Putain citrouille qui me sert de cerveau.

Les heures de la solitude..
Tu sais c'est quand tout le monde est dans ses occupations et que toi tu tournes en rond.

L' handicap, ma fybromyalgie, m'a contraint à ce décalage.
Quand l'autre peut parfois je peux pas.
Cela m'est physiquement impossible.
Mes heures de solitude me poussent à porter sur le monde le regard de l'observateur.
Je suis incapable de construire un meuble, les aptitudes physiques que ça nécessite ne me sont pas accessible. Par contre, je peux visualiser le meuble et son processus de fabrication.
Je peux l'expliquer mais je peux pas l'appliquer.
Il ne s'agit pas la de volonté mais de capacité individuel.
Le monde est bien fait. Nous sommes liés et chacun à une place précise et un raccordement à l'autre.
Et quand tu tires sur un fil, c'est tout le fil qui se déplace y compris ceux qui y sont accordées.
Pour progresser il faut donc que tous se déplace de concert, comme la fourmi, la sardine, l'etourneau...
Cela nécessite donc que chacun s'accorde les uns aux autres.
Je vois notre monde comme si chacun avait tendu la corde au maximum et qu'on se retrouve face à une impasse. Celle de la direction commune.
Nous sommes à l'heure de la détermination.
L'établissement du désir collectif.
Mes heures de solitude, c'est ce qui me pousse à réfléchir le monde.
Et c'est avec vous que je le fais ici.
J'aime mon handicap.
Ce n'est pas un handicap.
Ce n'est plus un handicap.
C'est la limite qui m'a fait comprendre le principe de liberté et qui me permet de la vivre.
L'aveugle n'est pas celui qui ne voit pas, c'est celui qui voit avec les oreilles.
Le skyzo n'est pas un malade mental, c'est un homme pris sur différents plan de réalité.
La notre, et celle de ses peurs, de ses espoirs, de ses fantasmé...
Le trisomique n'est pas un idiot, c'est un révélateur émotionnel.
L'autiste est un spécialiste...
Etc etc..
L'handicap ne doit pas être combattu, défendu, juste pris pour ce qu'il est réellement, un don du ciel.

Je pense à toi Audrey.

Pourquoi pensée primitive et pas intuitive ou surréaliste ?
Je vais te donner ce que je mets derrière le primitif.
Nous sommes des êtres doué de pensée.
Nous savons l'exprimer à travers le langage. Ce langage formate ta pensée. Il la précise.
Ce n'est pas tout à fait un atelier d'écriture. Il ne s'agit pas d'inciter à écrire selon un angle littéraire.
Il ne s'agit pas de parler de son intuition même si cela peut être proche ou lié.
Il s'agit d'exprimer ses sentiments. D'exprimer son ressenti.
La pensée dite intuitive exprimé autre chose
. Elle exprime l'inconscient.
Je ne cherche pas l'inconscient je cherche la conscience dans ce sujet.
Ceci dit je veux la garder le plus pur possible
D'où le primitif. Vierge de toute amélioration. Dire sa pensée comme elle vient.
Dans l'écriture intuitive il n'y a pas de suivi logique.
Cette pensée n'est pas surréaliste.
Nos émotions, nos analyses, nos ressentis ne sont pas surréaliste.
Voilà pourquoi j'ai choisi ce titre.

Fantasme ou réalité ?
Quand les événements se succèdent sous un angle inattendu, quand il y a comme un message, une connexion avec l'incertitude.
Où est la limite entre ce qui est du pure fantasme et une réalité.
Où est la limite des connexions que nous voyons.
La limite du conscient et de l'inconscient.
Les évènements se succèdent, je me mets à nu ici, pas ailleurs ou pas partout.
Je crée des liens entre le moi d'ici, le moi d'avant et le moi de demain.
Et d'un coup l'improbable.
Il me voit ?
Il me lis ?
Je l'intéresse dans la foule des anonymes moi qui me plongent dans l'anonymat des foules.
Moi qui abrite ma mise à nu sous les murs de la diversité.
Tu me lis ?
Pourquoi quand je lis "j'aime quand tu te desabhille aux yeux des computer qui brillent" je t'entends me parler directement ?
Un mirage, une illusion, j'hallucine ?
Illusion ou réalité, il y a du bien dans l'incertitude.
Si je sais que oui, tu me suis, serai je le même ?
D'un coup me reviens "allez suis moi je te fuis" et ces amours silices... Et je revois il et elle comme si tu répondais.
La subjectivité, le désir ou l'envie me pousse à dire que c'est ça, on est lié, on est ce silence qui s'exprime entre les arts, entre les cœurs.
Et mon cerveau qui me raisonne pour pas qu'on résonne...
Fais moi vibre ma gueule, que notre terrorisme soit nos cœurs libres.
J'ai foi et toi ?
Tu y crois toi ?
Non, pas au Dieu des religions, au Dieu de la création. Au Dieu qui nous veut libre.
Au Dieu qui nous laisse libre, d'aimer ou de rejettera.
Putain, si ce n'est un rêve, tu seras là, chez moi.
Pas sur qu'on parle de toi, ni même qu'on parle de moi... Aurons nous besoin de parler... Ou juste se prendre dans les bras ?
Putain frangin, dis qu'ils nous auront plus, qu'il n'aurons pas raison de nous.
On est des ours vielles branches,
Nous sommes des ours.
Vivement le printemps.

On nous dit depuis qu'on est tout petit, ou toute petite hein, réfléchi avant de parler, tourne ta langue 7 fois dans ta bouche avant de dire des conneries.. et là on a le droit de pas réfléchir ?! c'est cool ça

Fleur a écrit:depuis qu'on est tout petit

Ne sommes nous pas tous un peu des miroir ?

Mais ce sont les nuances qui font la personnalité

On se croirait à la fête foraine... Y'a des miroirs déformant...

Y a surtout beaucoup de nuances...
Et puis les intimités ne sont pas obligés de se connecter si elles ont trop de différences rédhibitoires

La gravité ne sert pas qu'à nous rapprocher, c'est vrai... Les différences sont tels, mais malgré tout nous restons liés, ces liens sont indéfectible.
Nous sommes singularité.
Nous sommes une foule varié, multiple, mélangé.
Nos différences sont notre richesse.
Mais au delà de nos différences, par delà le brouillard, il reste, en nous, un fond commun, un souffle originel, qui ne peut s'essouffler. Qui perdurera comme une flamme éternel de ce que nous sommes.
De ce qui est.
Ce fil conducteur, qui donne une direction.
Une direction unique et commune.
Ce fil de l'inconscient, ce fil qu'on conscientise pour qu'il ne soit plus entrave.
Le fil des libertés, le fil des cri de joie, ce fil qui rends axiome la confiance en l'autre.
Ce fil qui nous raconte.
Ce fil qui nous lie.
Ce fil de la vie.
Que vois tu d'où tu es ?
Tu l'es vois les printemps, car moi oui, ça y'est je me vois.. Il arrive en silence.
Il file dans nos pensées.
Le monde va changer.
Et nous sommes le changement.

La peur, formidable outil d'alerte pour celui qui sait écouter son corps, Elle devient un outil dangereux quand on ne sait pas le définir, la raisonner.
Qu'est ce qui provoque la peur ?
La première des peurs c'est celle qui touche à la survie.
On a peur de l'araignée car on sait que l'araignée peut nous faire mal.
On a peur du danger.
Nous sommes dans une société qui exploite nos peurs. Qui s'en servent pour nous deraisoner, et pour nous éloigner les uns des autres.
L'idée derrière tout ça est détourner nos regards du vrai problème et donc de la solution.
Même ils nous font croire que le problème est la solution.
Ils, c'est ceux qui ont bénéfices à conserver le système. Ceux qui sont les premiers bénéficiaires de ce système.
Et y'a ceux qui ne voient pas le problème ou ne le comprennent pas. Et puis y'a vous, et moi.
Car on est tous, de manière plus ou moins consciente, complice du système.
Et cela à cause de notre peur du lendemain, notre peur de l'inconnu, notre peur du noir, la peur pour les siens, la peur de la mort.
Alors comme ces peurs nous sont communes, ils s'en servent et les accentuent en désignant des coupables: Les religions, les origines, les us et coutumes, les sexe/ualite, les chômeurs, les riches,... On a deshumanise les personnes en les poussant à s'individualiser.
Mais l'homme n'est pas fait pour vivre seul.
En conséquences, on se rapproche naturellement de ceux en qui ont peu s'identifier.
Cela à augmenter le processus communautaire.
En répondant au demande communautaire, on a validé leurs existances en tant qu'entite.
Mais on a aussi réveille les jalousies.
Eux on leurs reconnaît un droit particulier, ou plutôt on leurs acceptent un droit particulier alors les autres communauté veulent elle aussi qu'on les reconnaissent.
En disant vouloir créer la justice on crée l'injustice.
En disant vouloir s'ouvrir à l'autre on a ouvert la porte à sa fermeture.
Chaque action à une conséquence sur plusieurs plan de réalité.
Il existe un système de fonctionnement commun à toute chose.
En suivant ce fil conducteur, on peut comprendre et voir les liens de causes à effet. Faut il, alors, tirer les bon fils.
La peur est un fil efficace pour asservir.
Au temps des phobies, y'a de quoi se poser des questions, vous trouver pas.
Rassurez vous.
Rassurez vous, entre vous.
Rassurez vos amis, vos familles.
Rassurez vos ennemis.
Un homme rassasié et rassuré est un homme libre.
Un homme qui pourra s'ouvrir à l'autre et lui faire du bien.
Vous sentez vous rassuré et rassasié ?
Vous sentez vous libre ?
Si la réponse est non, c'est sans doute que vous avez une peur non saisie, non comprise, non consciente.
Peur des facho, peur des hommes, peur des origines, peur de ne pas avoir ce dont tu as besoin.
Pourtant tout ces hommes sont aussi terrifié que vous que nous que moi.
Ils sont, comme nous, confronté à la difficulté du quotidien. Ils ont eut des morts, des soucis financiers, des questions sur l'avenir, la peur pour leurs santé, la planète.
Sourire c'est quand même mieux que de faire la gueule. Mais comment sourire, quand on est plus en capacité de profiter de l'instant ?
Nous sommes dans une société de méfiance, mais moi j'ai confiance... Je vous fais confiance, je nous fais confiance.
Car je sais pourquoi l'homme réagit comme il le fait.
Et la peur n'a pas trente mille conséquences sur nos comportements. C'est un révélateur important.
Certes nous sommes tous différents, mais notre base est la même et c'est la base le point de départ du fil...

Dieu

sujet récurrent chez Damien.

que mets t-on derrière ce terme, ce concept ?
Existe t'il un consensus malgré les différences apparente.

que tu vives sans (athée)
avec (croyant) il existe une image que l'on se fait de l'idée de Dieu.
Il y a ceux qui pensent que l'homme à créer Dieu pour répondre à ce qu'ils ne savent pas.
il y a ceux qui pensent qu'il a crée l'homme et la vie.
Il y a ceux qui le nomme (allah,Jesus, vie, terre, soleil ,univers, galaxie, mort)
il y a ceux qui lui donne des attributs, bon, mauvais, injuste, cruel.
il y a ceux qui s'y soumettent par crainte et ceux par amour.
il y a ceux qui se révolte de douleur et ceux qui louent leurs douleurs.

mais Dieu c'est quoi au juste parmi tout ça?

le consensus est dans sa représentation.
il est le début et la fin.
celui qui créer et celui vers qui nous allons.
il est l'absolu. le tout savoir et le tout pouvoir.

Voilà la définition qui fait consensus à travers les religions.
à travers les croyances diverses et varié.
Dieu est le consensus unificateur dans l'absolu. le monde idéal.

Peut on prouver Dieu?

Descartes l'a prouvé de manière cartésienne. vous êtes la preuve de Dieu.
votre pensée est la preuve de Dieu et votre existence est la preuve de Dieu.
la vie qui nous entoure ne peux avoir de sens qu'en incluent Dieu dans la balance.

mais savoir Dieu ne suffit pas. car par définition Dieu est insaisissable. il est tout et rien, il est le paradoxe il est tout ce qu'on peut lui attribuer et pour en saisir l'essence c'est compliqué. Car son essence est un salut . et le principe de salut est dur à saisir quand on est sans ou en rébellion contre le principe même qu'il représente.

nous ne savons plus entendre Dieu. Souvent on le rejette par principe ou conviction. mais peut on rejeté ce qui est sans qu'il y est des conséquences sur soi ?
peut on rejeter une partie de nous même et être pleinement.

si pour ma part je sais Dieu. je ne connais que ma relation intime avec lui.
nous avons chaque être vivant une relation intime à Dieu. Consciente ou non.

voulez vous en prendre conscience?

si oui, les pensées primitives sont capitales.
elle vous ouvre à la source. elle vous ouvre à vous même et aux autres.

elles ne prêtent pas à jugement car elles ont la pureté de l'innocence et le savoir de la fin.

elle vous reconnecte à vous même.

rien n'oblige aux partages.

c'est entre vous et vous et si ce vous le désir entre vous et l'autre.

et vous qui êtes là par et pour Damien, c'est que vous y avaient entendu l'appel de la source.

le syndrome du sauveur.

dans les heures de solitudes, quand t'es seul avec toi même, quand t'as le mal de l'incompris.Quand on te renvoie une image de toi qui ne te conviens pas, qui ne te corresponds pas, et que ça provoque en toi un trouble.
quand t'es gamins en bord de fenêtre comme en bord de seine,quand tu te sens des inutiles, des incompétents et des ignorants.
et quand à bout de souffle, t'as cette voix qui d'un coup te dis:"ne lâches pas, tu as une grande destiné qui t'attends"
cette voix qui chaque fois que tu sombres, reviens comme un point d’appui, comme un fauteuil confortable qui enveloppe de sa chaleur et te permet de reprendre ton souffle dans le gout effréné de la vie.
cette chose qui justifie tes souffrances par une destiné plus grande que les autres.
ce besoin de compenser.
le besoin de ceux qu'ont pensé être rien, ne servir à rien.
De ceux dans la rue, dans le froid perdu par les évènements.
le besoin de l'enfant des divorces, des abandons du père, besoin des orphelins.
ceux qui mal aimés ont besoin d’être sauver, ont besoin d’être aimer.
les inconditionnels.
j'ai longtemps cru être seul dans ce cas.
mais tout vos témoignages me montrent que nous sommes nombreux.
De Saez qui nous unis ici à notre humanité.
De notre humanité à sa réalité, la conscience qu'on en a notre dévouement à la lumière.
oui nous qui devions être sauvé l'avons été.
notre présence ici ou ailleurs, les multiples rassemblement de conscience d'un problème majeur de notre vie collective. notre volonté à bâtir, construire le monde de demain sur de nouvelle base.
le sentiment qu'un évènement marquant ,changeant le monde s'approche à grand pas.
je suis sur que vous qui me lisez , connaissez cette sensation.
un évènement comme un avènement
d'ailleurs il est intéressant d'entendre la langue des oiseaux dans le mot évènement .
est vainement et vaine ment .

elle est perceptible la notion d’irrémédiabilité . l’être qui ne peut rien changé car ce qui doit être est.
et si vaine ment alors c'est que ça pas de la chance mais réfléchi.

c'est aussi intéressant par ce biais (langue des oiseaux ) de réécouter certain chose , musique texte.
le sens qu'on y donnera pourrait prendre un tout nouvel éclairage.

elle est belle notre langue. elle est à la fois multiple et unique .
elle a des subtilités saisissable que par ceux qui pensent en français.
comme l'arabe pense l’arabe...le chinois chinois ...
c'est un peu si on avait donné à chaque tribu du monde un point de départ différents et que de son point de départ il avait construit une culture : langue, coutume, technique de fabrication, invention...
puis chaque tribu à fait son petit bonhomme de chemin jusqu'à croiser une autre culture.
la première rencontre laisse qu'un choix la confrontation.

d'abord on se jauge. face à l'inconnu on est par nature méfiant.
c'est un système d'auto protection.
on se regarde, on parle d'abord avec les yeux et le corps .
puis on fait des petit bruit de reconnaissances. c'est même petit bruit qui nous permette de nous comprendre entre nous.
c'est bruit qui désigne "pomme" "apple"
notre langue maternelle est le fruit des rencontres de nos ancêtres avec le monde.

au départ on disait pas pomme, au début du langage c'était juste un son qui permettait aux groupes de désigné une chose physique.
pas de phrase , pas de mot , juste un son .
mais les rencontres de cultures ont mélangé les gens , et ils ont du trouvé un point de concordance de leurs son.
peut être qu'on pourrait imaginer un truc du style: "pe" et l'autre culture dirais "om" pour désigné une même chose.
du coup à force d’être ensemble ils fusionnent le mot çà devient "peom"
et puis on trouve que le e est gênant alors on dit "pom"

j'utilise le mot pour l'idée de sonorité vu que je n'ai pas suffisamment de connaissance en langue étrangère pour tracer le chemin exact . c'est le mécanisme qui est intéressant. un expert linguistique devrait sans doute préciser le sujet , mais le mécanisme est logique au vu de nos connaissances global.
c'est difficile à démontrer autrement que par notre comportement d'enfant. l’écriture n’étant pas encore là ou plutôt elle était rupestre on dessinait ce qu'on voyait.
mais regarder les tout petits, les comportements animaliers. vous y verrez sans doute un peu de ce que je vous parle.

je vous perds là , hein de l'envie du sauveur tant d’être sauver que de sauver pour être aimer.
comme si notre perdition était liè à une vie sans ou avec amour...

avec ou sans ...

c'est simple..c'est basique

et ça explique tout. pour celui qui cherche à comprendre.

...

Le vrai sauvetage n'est il pas de faire de l'autre son sauveur ? Si sauver c'est rendre dépendant alors à quoi bon en effet...
Sauver c'est rendre libre. Tu ne peux plus être sans quand t'es sauvé.
Rendre libre, imposer à l'autre une distance c'est lui permettre de tirer enseignement de son sauvetage.
L'absence n'est que passagère.
Demande à ceux qui sont encore vivant en quoi nous ne sommes jamais bien loin les uns des autres.

Par un souvenir, par une chanson, par une pensée quand ça va mal.
La force n'est pas dans la présence physique.
La force est dans l' harmonisation parfaite du corps et de l'esprit.
Quand les deux sont traité avec justice.
L'humain accomplit ne renie ni son corps, ni son esprit.
Mais il les lient. Son corps et son esprit ne font plus qu'un.

C'est ce que fait le danseur, l'acteur, le chanteur, le poète... L'artisan quand il travaille son art par amour.
Le sauveur ne remplace pas le manque, il apprends à le combler.
Et sa récompense est la reconnaissance.

Dans la bible c'est pas jésus qui dit qu'il est prophète ou fils de dieu.
C'est ce qui le reconnaisse.
Celui qui vient en s'affirmant sauveur ne peut l'être.
Le sauveur est désigné... C'est démocratique et unanime.

Ca commence par ses apôtres et sa fini par la résurrection.

On a tous un peu de jesus en nous, à différents niveau, moment, étapes... Je parle du symbole.



Merci de m'avoir permis de rebondir, tu m'as sauvé

Je suis sur qu'il me lit. Ou j'aime à le croire ça me fait du bien. Pourquoi sortir d'une chose qu'on aime.

Finalement je crois que je vais continuer à communiquer dans l'inconnu.
Comme si, oui, les oiseaux me répondaient... On parle la même langue, toi dans la lumière et moi te suivant comme une ombre.

Ils sont beaux les oiseaux, ils sont libre les oiseaux.
Il ne font pas que parler les oiseaux, il chante aussi les oiseaux, il chante pour séduire leurs belles... Ils dansent même les oiseaux.
Il danse comme le primaire, il danse les origines.
Ils nous guident les oiseaux, faut les voir s'envoler à l'approche du danger.

Ne veux tu pas voir des ailes pousser sur le dos de tes frères ?

Ne veux tu pas voir tes frères libre ?

On ne devient pas libre dans la guerre... Nous on fait la guerre des poésies...

Viens on fait la guerre tout les deux.
Ça serait beau de mélanger nos arts.
Toi la lumière, moi l'ombre, dansant en tourterelle, dansant en étourneaux en emmenant nos frères oiseaux vers un lieu sans danger.
Viens on leur dit qu'ils sont des oiseaux aussi, qu'ils n'ont pas besoin de chef de meutes... Qu'ensemnle elié par nos libre, on peut voler en chœur..
Allez viens frangin... Laissez moi être le rameau dans ton bec colombe.